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Récompense.

Il n’en est pas dû, au mari, pour le rachat qu’il a fait des rentes dont le bien de sa femme était grevé ( Basn., 2, 112 ).

Le même auteur, tome 2, p. 178, pensait que la femme devait indemniser son mari des frais d’un procès qu’il aurait soutenu dans l’intérêt de la dot.

( Voir le mot impense. ).

La femme, quoiqu’elle se fût rendue héritière de son mari devait toujours avoir récompense de sa dot, sur ses biens. à la vérité, elle était tenue des dettes, au respect des créanciers ; mais, ceux-ci payés elle pouvait exercer ses droits sur ce qui restait des biens de son mari ( Caen, rec., 1831, p. 221 ).